Le pouvoir des mots

Le pouvoir des mots

Le pouvoir des mots peut être lourd de sens lorsque notre égo ne fait pas barage pour nous en protéger.

N’oublions jamais que nous devons être les premiers à nous donner de l’amour.

Dans le cas contraire, on tombera dans les relations de dépendances, dans les relations toxiques où l’on attend que l’autre nous donne ce que l’on ne peut pas s’offrir à soi-même.

L’impacte des mots que l’on se dit au quotidien est immense.

Commençons par changer notre manière de nous parler. Commençons par arrêter de dire à notre subconscient qu’on est nul, bête, stupide, maladroit, moche, gros….

Arrêtons déjà de nous insulter nous-même car pourquoi avoir le droit de s’insulter soi-même mais l’interdire aux autres ? Ca n’a aucun sens. Personne n’a le droit d’insulter personne, en commençons par soi.

Arrêtons d’être nos propres bourreaux, nos propres harceleurs.

Il me semblait important d’ouvrir la réflexion sur le poids des mots, car il y a des mots qui vont s’ancrer en nous, même en l’absence de volonté de notre part.

Cependant, il y a des moments et des mots que nous pouvons facilement désarmer au quotidien. Des mots que nous pouvons laisser couler, flotter dans l’air et laisser s’envoler.

Lorsque quelqu’un porte un jugement sur nous, qu’il a son propre jugement sur nous, au fond, nous avons plusieurs choix qui s’offrent à nous :

Soit l’égo va faire en sorte que l’on va se braquer et attaquer en faisant des reproches aussi à l’autre.

Soit le besoin d’approbation va faire que l’on va se justifier, excuser ou rationnaliser.

Ou alors, ça va nous faire ni chaud, ni froid car au fond nous on connait la vérité donc cela ne va rien changer que X ou Y pensent autre chose.

Dans ce cas-là, on n’a pas besoin de l’approbation de l’autre, donc on ne se sent même pas l’envie de se justifier. On ne donne aucune valeur à l’avis de l’autre, il peut penser ce qu’il veut ca ne m’empêchera pas de vivre.

Bon voyage dans cette grande réflexion.

Bien à vous,

Krassimira votre psychopraticienne.